Nous sommes le monde. |
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| Durch fremde Hand { PV. Liechtenstein } | |
| Auteur | Message |
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Fonda
| Sujet: Durch fremde Hand { PV. Liechtenstein } Ven 29 Avr - 9:44 | |
| Il fallait bien sortir de son trou, un jour. Ou plutôt, une fois par jour, lorsque la petite sœur adorée rentrait au bercail, en tentant de faire de son mieux pour qu'elle ne l'entende pas sortir et qu'il puisse se barrer avec toute la délicatesse qui soit. Ou pas. Est-ce que c'est délicat de sortir par la fenêtre, s'agripper au tuyau de plomberie et se laisser lisser jusqu'au sol avant de partir en courant comme un dératé ? Pas vraiment, non. L'élégance est une chose, l'instinct de survie en est une autre. Malheureusement les deux ne s'accordent que très rarement. Ainsi, qui veut survivre doit passer pour un débile. Heureusement que la honte ne tue pas, uh. Ivan -car oui, nous parlons d'Ivan n'est-ce pas- en était donc à courir dans la rue en espérant que sa très chère cadette ne se soit pas jetée à sa poursuite. Histoire de dire qu'il était bien sûr de l'avoir semé, il continua sa course pendant un petit moment, ne sortant néanmoins pas du quartier slave. Puis, il s'arrêta, regarda un instant en arrière. Non?... Non, elle n'était pas là. Soupir de soulagement. Il avait échappé au monstre. Parce que oui, dans la maison russe, quand on dit qu'il y a un monstre caché sous le lit ou dans le placard, c'est pas des conneries, c'est Natalia. Il resta arrêté, dans une ruelle, reprenant calmement son souffle. Le sprint, c'est pas son truc, ça ne l'a étrangement jamais été donc bon. Ensuite, il se redressa, repartit comme si de rien n'était et flâna dans la rue, marchant tranquillement en regardant à droite et à gauche, un peu partout, les visages les figures. Il n'y avait pas beaucoup de monde dehors, il devait être, quoi, onze heures au plus tard ? Pas étonnant qu'il n'y ai pas foule. Le russe continuait de marcher tranquillement ; selon ses calculs Natalia devrait être repartie dans précisément vingt-huit minutes et quarante-deux secondes. Calculs très précis, oui. Il les avait fait lui-même. Voilà à quoi ça sert, d'être le pays qui a inventé le tableau périodique, à calculer le temps pendant lequel il doit se tenir éloigné de la maison. Que pouvait-il bien faire durant ce temps ? C'était la grande question. Il était bien trop tôt pour aller voir un opéra, bien trop tôt pour aller à la patinoire, bien trop tôt pour aller au restaurant, bien trop tôt pour... beaucoup de choses, en fait. Puis, peut-être aussi que le fait qu'il n'avait envie de rien foutre n'aidait pas. Allons bon. Il pourrait très bien rendre visite aux Baltes, histoire de les sortir hors de leur lit et de les poursuivre dans la rue pendant qu'ils trembleraient à en faire pâlir de jalousie un vibromasseur. Mais non. Il y avait deux raisons au fait qu'il n'aille pas effectuer cette petite gymnastique matinale. De un, la maison des Baltes est bien trop proche de la sienne. De deux, ils vibrent tellement fort et Natasha a les sens tellement aiguisés qu'ils pourraient l'alerter. Donc, non, mauvaise idée.
Alors, que faire ? Il passa sur le pont, s'accouda à la balustrade et regarda simplement l'eau couler. Le printemps était là, il faisait beau, la rivière n'était plus gelée, bonheur total ! A partir du moment où l'Hiver était parti, de toute façon, tout allait pour le mieux, donc bon. C'était beau, le léger clapotis de l'eau qui venait lécher les jambes du pont. C'était agréable. Oh, des poissons. Ben tiens, c'était nouveau aussi, ça. Des poissons. Et puis quoi encore, des canards ? Il se redressa et reprit sa marche en marchant au beau milieu de la rue. De toute façon les gens s'écartent, alors à quoi bon chercher à se mettre dans un coin où il ne gênerait personne ? De cette façon, on ne le prend pas pour un poteau et on ne se le paie pas en pleine poire, on le voit arriver de loin. Il marchait donc, lentement, sourire aux lèvres, légèrement perdu dans ses pensées. A quoi il pensait ? A tout, à rien, à l'avenir au passé au présent. Depuis quand est-ce qu'il fallait avoir un sujet précis pour penser ? Puis, on n'a jamais dit qu'il pensait. Il est perdu dans ses pensées, voilà. Ce n'est pas la même chose, non non. Les pensées, c'est le fait de divaguer, pour penser, il faut déjà réfléchir à quelque chose. Et la réflexion, à onze heures... euh... on y repassera.
Et donc, il marchait. Vers où, ça, c'est une grande question, mais il marchait, et il y allait de bon cœur, en plus. Si c'est pas beau, tout ça.
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| Sujet: Re: Durch fremde Hand { PV. Liechtenstein } Dim 1 Mai - 14:18 | |
| {HRP; Désolé si le poste est trop court >_<""} La journée s'annonçait belle et ensoleillée. La lumière naissante et rafraîchissante du jour éclairait, à travers des rideaux de tissu léger rouge, la chambre de la petite Liechtenstein. La chambre, impeccablement rangée, abritait en le lit du centre la nation en question, emmitouflée dans ses grosses couvertures, qui faisaient bien le double de sa taille. Malgré qu'elle ai tenté de se cacher le visage avec son oreiller, le soleil eu raison d'elle et força Lilli à ouvrir ses grands yeux verts, encore endormis. Elle bâilla un bon coup et s'étira de façon aussi mignonne et adorable qu'elle-même. - Guten morgen, marmonna Liech à l'intention de son chat, qui reposait au pied de son lit. Désolée de te réveiller mais il faut que je débarque...Doucement, pour ne pas déranger la créature, la nation enleva les couvertures de ses jambes et se leva de son lit en un petit bond. Qu'allait-elle faire aujourd'hui? Toute ses corvées avaient été faites hier -merci à Grand frère pour son aide-, aucune réunion n'était annoncée et, puisque rien ne se passait dans son coin, pas une catastrophe ni un imprévu ne semblait se dessiner. Une longue journée en vue, finalement. Longue et ennuyante de surcroît, la petite nation n'ayant pas beaucoup de contacts outre son frère et Autriche. Autriche étant souvent occupé ou totalement absorbé par son piano, Suisse en contre-partie était toujours débordé de boulot. Ça ne l'empêchait pas de le voir, lui avait-il dit. Mais Liech n'aimait pas déranger son grand frère, elle restait donc chez elle la majorité du temps, souvent pour se tourner les pouces. Sa tête se tourna vers les dessins -oh comme ils étaient mignons les lapins- que lui avaient fait Switzy et une idée traversa son esprit. - Je pourrais aller voir grand frère malgré tout...,pensa-t-elle tout haut. L'idée semblait bonne, tout allait à merveille, mais c'est quand elle commença à se vêtir que Liech se rappela que Suisse était parti à l'étranger aujourd'hui. Soupir de désappointement, puis petite moue déçue. Oh, que pourrait-elle faire? Une promenade semblait la meilleure chose dans le moment. Allons-y donc pour la promenade, alors! En plus, Liech était impatiente d'essayer son nouvel ensemble. Parce que, oui, elle pouvait mettre autre chose que des robes. Et que, oui, elle avait fait l'erreur d'aller magasiner avec Belgique et Hongrie. Inutile de dire que tout son argent avait flambé façon scones d'Angleterre. Les deux femmes l'avait apportée dans tous les magasins du centre commercial, achetant ce qui leur passait sous la main, aussi cher cela pouvait-il être. Lorsque Autriche avait remarqué sa carte de crédit complètement vide, frôlant de passer sous zéro, c'est peu dire qu'il ait exprimé sa colère sur son piano. Il prenait quasiment feu! Ses regrets envers la pauvre et innocente carte par contre s'estompaient lorsqu'elle se regardait dans la glace: le chandail, une camisole blanche, était recouverte d'une petite veste ample verte. Ses jambes n'étaient couvertes que par une paire de pantalon serrée noire et, à ses pieds, des ballerines à la couleur de la veste terminait l'ensemble. Ça avait coûté cher, pour ne pas dire toutes les économies minutieusement calculées d'un certain aristocrate, mais ce n'était pas du toc. Le tout semblait s'harmoniser à merveille sur elle, tombant parfaitement et cachant ce qu'elle n'avait malheureusement pas. C'était pas facile la vie d'une fille vous savez? Mais bon, pas le temps de voir en gris! Il faisait splendide malgré l'heure hâtive, c'était péché mortel que de ne pas sourire à la vie. Attachant donc ses cheveux en deux couettes de chaque côté de sa tête, Liech ne négligea pas son ruban, qu'elle accrocha, pour faire changement, à son cou. Prête à affronter le soleil et la fraîcheur matinale, Lilli sortit de chez elle. Une grand bouffée d'air lui rappela que le printemps montrait enfin son nez. La neige avait fondue, laissant la place aux lys, toutes timides. Ça s'annonçait prometteur, avec les arbres en bourgeons et le léger vent qui soufflait dans les cheveux blonds de Liech. C'est donc sous un soleil masqué mais présent que se promenait la précédente citée. Il n'y avait personne dans les rues, tout était si calme... c'était si beau. À un moment Liechtenstein s'arrête dans un parc et s'assied sur un banc, pensant à tout et à rien. Allant de ce qu'elle allait devenir et ce qu'elle était, à comment se portait présentement son frère et ses amis, Ukraine et Lettonie. Parlant d'eux, ça faisait un bail qu'elle ne les avaient pas vu. Pourquoi ne pas leur rendre une petite visite? Quitte à ne rien faire... *** Le petit voyage terminé, Liechtenstein atterrit en bordure de la Lettonie, soit à Moscou. Une petite marche ne lui ferait pas de tort. Surtout qu'à ce moment de l'année, les paysages russes étaient magnifique. La neige fondait ici aussi et les paysages se faisaient moins sombres, comme si le printemps se rappelait de la terre qu'il avait laissé des mois durant. Prenant gaiement la direction de la maison de son ami, son ventre lui cria d'arrêter. C'est vrai, Liech n'avait pas mangée depuis un bon moment déjà. Un restaurant de trouver dans les environs... commença donc la quête à la nourriture. Peu de gens se trouvaient dans la ville, il était donc facile pour la petite Liech de se frayer un chemin. Parce que, on ne se le cachera pas, les russes, c'est grand. Et menaçant, quand on est toute petite. Mais elle ne craignait pas vraiment ces géants: ils étaient gentils au fond, elle le savait bien. Suffit de les connaître. Malgré son ventre qui grognait, Lilli put remarquer, dans la petite foule, un homme qui se démarquait des autres. Pour ne pas dire qui les dépassait tous. Oui oui, finit-elle par se dire. C'était belle et bien Russie, pas de doute possible. Étant le seul du coin que la jeune fille connaissait, cette dernière se dirigea vers lui, un radieux et poli sourire aux lèvres. Le slave n'était pas un grand ami de toujours, mais une connaissance à qui Liech plaisait bien de parler. De toute façon, sa réputation était reconnue -même si Lilli doutait qu'il soit aussi méchant-, en plus qu'Ukraine et les baltes lui en avait parlé. D'un côté c'était un petit frère adorable bien qu'un peu psychopathe et de l'autre, carrément un fou aux airs mignon et au cœur aussi obscur que dégénéré. Mais la nation préférait se dire qu'il y avait une raison en dessous de ses actes,-parce qu'être troublé comme ça n'est pas de naissance-, et qu'au final, ce qu'il désirait, c'était de l'amour et de l'attention. Enfin, oublions ceci pour l'instant, de si tôt matin, commencer les réflexions philosophiques, non merci. Quand elle fut en face de Russie, Liechtenstein se rendit compte de sa grandeur -immense, ceci dit en passant-. L'homme russe semblait joyeux, son sourire se faisant moins... sadique? Hypocrite? Qu'à l'accoutumé. Le bon temps y était sûrement relié. Ou Natalia lui avait fichu la paix pour de bon? Elle sentait qu'il valait mieux ne pas aborder ce sujet toutefois, au cas où la psychopathe -celle-là, c'était une vraie- entendrait ses pensées et viendrait la décapiter. On se contentera donc d'une légère inclinaison, d'un salut sympathique et pour le moins poli ainsi que d'un impeccable sourire. - Bon matin, M. Braginski! Une bien agréable surprise de vous voir. Je n'ai pas reçu de vos nouvelles depuis un moment. Comment vous portez-vous? Sa politesse faisait son charme. En plus, de ce qu'elle avait entendu de Lettonie, le mieux était de toujours rester extrêmement poli avec lui. Il en savait quelque chose, le pauvre... se dit-elle en repensant aux souffrances que lui avait fait endurer Russie. Il n'était pas méchant, seulement un peu... enfin. Le ventre de Liech la sortit de ses pensées peu agréable. Bon sens, qu'elle avait faim! Vivement que le russe puisse lui montrer un endroit où manger... |
| | | Fonda
| Sujet: Re: Durch fremde Hand { PV. Liechtenstein } Dim 8 Mai - 12:39 | |
| Le quartier slave n'était certes pas l'un des plus accueillants, mais il n'était pas pour autant un endroit aussi terrifiant que son nom le désignait. Aussi calme que les autres, qui connaissaient autant de déboires, ce n'était pas si terrible d'y vivre. La seule chose qui pouvait faire tiquer les curieux, était la cohabitation -forcée ou non- avec un certain russe quelque peu... joueur ? Ma foi, pourquoi pas. Pour ledit russe, c'était plus la cohabitation avec sa petite sœur Natalia qui pouvait faire de Frozen Hell un enfer, mais il avait appris à s'y accoutumer, à force. Avec plus de force que d'accoutumance, ceci dit ; il continuait de la fuir comme la peste lorsqu'elle venait à le coller d'un peu trop près. Bien sûr, Russie aimait sa sœur, comme chaque grand frère aime sa petite sœur, mais pas de son point de vue à elle, non. L'avoir sur le dos, c'était une horreur. D'un autre côté, c'était plus rassurant de savoir qu'elle se tenait près de lui dans l'ombre plutôt que de s'inquiéter quant à savoir à chaque minute où elle se trouvait et ce qu'elle pouvait bien faire, avec qui, comment, pourquoi, et toutes les questions qui viennent à la tête des ainés lorsque le cadet n'est pas dans son champ de vision. Mais bon, il fallait tout de même avouer qu'il n'y avait rien de plus... enquiquinant, de l'avoir toujours à ses basques. Ceci dit, s'il était dans l'autre situation, il penserait peut-être le contraire. En fait, il aurait fallu qu'elle soit collée à ses basques, mais sans vouloir l'épouser ou des trucs du genre, quoi, parce qu'au fond, c'était ça le plus ennuyeux. Puis, il était trop tard pour l'éduquer. Ouais, l'inceste c'est mal. Mais allez dire ça à une personne qui aime son frère depuis tellement de temps qu'elle a oublié quand ça a commencé. Il en était là de ses rêveries lorsqu'une voix le sortit de ses songes.
- Bon matin, M. Braginski! Une bien agréable surprise de vous voir. Je n'ai pas reçu de vos nouvelles depuis un moment. Comment vous portez-vous?
Il baissa les yeux vers la demoiselle, la regarda s'incliner avec un sourire. Il lui rendit son sourire, fort agréablement, de cette façon qu'il avait l'habitude de faire. Liechtenstein était une enfant fort sympathique. Il ne l'avait jamais vraiment connue, mais en avait entendu quelques échos. Suisse parlait d'elle comme d'un joyaux de la couronne, Autriche n'hésitait pas à se vanter prudemment de sa bonne éducation. Les deux se disputait, parfois. Il les trouvait tellement amusants. La vérité, c'était que Liechtenstein était une enfant très calme par rapport à ce qu'il avait connu, polie avec ça. Ivan se méfiait des personnes polies. Pour lui, la courtoisie était une forme d'hypocrisie lancinante, et il était plus que probable que les gens polis, ne montraient pas réellement leurs ressentis ni ce qu'ils pensaient des autres. Il s'en méfiait. D'un autre côté, il avait tellement aimé jouer avec Lettonie pendant toutes ces longues années où il avait été avec lui... et Lettonie n'était pas malpoli, non non, pas du tout. Il aimait juste beaucoup jouer avec lui, le voir le regarder avec des yeux suppliants. Et larmoyants, en plus, le petit pleurait très facilement. C'était d'autant plus drôle. Liechtenstein était-elle comme Lettonie ? Était-ce une enfant qui pleurait facilement ? Étrangement, il en doutait un peu. Sachant qu'elle avait été élevée par Autriche et Suisse, il y avait fort à parier qu'elle était bien loin de la petite chose inutile qui pleurait dès lors qu'elle tombait au sol. Ceci dit, il ne pouvait pas savoir, Liechtenstein n'était pas forcément une des personnes qu'il côtoyait le plus. Si on occulte le football, qui reste tout de même l'un des meilleurs moyens de connaître les autres pays. Mais passons. En plus, il avait gagné les deux matchs. Alors bon, il n'avait pas à se venger d'elle pour quoi que ce soit.
- Je me porte bien, merci, répondit-il avec un sourire. Et toi ? Ton frère n'est pas avec toi ?
Vouvoyer ? Pourquoi vouvoyer une aussi petite chose ? Elle semblait tellement frêle, faible, fragile... non, le vouvoiement devait être adressé à des personnes à haute stature. Il était très rare que Russie vouvoie ; à vrai dire il ne le faisait quasiment jamais, donc pour une petite fille... Elle pouvait toujours courir. Si elle arrivait à le battre à un concours de boissons, à la limite, pourquoi pas, mais sinon... il faudrait qu'elle s'y fasse. Puis, il ne faut pas changer les habitudes de Pépère hein, ça roule pour le mieux lorsqu'il agit de cette façon, alors il ne va pas chercher plus loin. Pourquoi changer une équipe qui gagne ? Il n'y en a aucune raison. De toute façon, même les équipes qui ne gagnent pas restent généralement ensemble, suffit de voir l'Axe en 1939, alors bon, ça fonctionne encore mieux pour les équipes qui gagnent. D'ailleurs, il ne se souvenait plus de quel côté avait été la petite, lors de la Seconde Guerre Mondiale. Ni même lors de la Première, d'ailleurs. Avait-elle été neutre, comme son frère ? En fait, il s'en moquait un peu, les Guerres Mondiales n'avait pas vraiment été des passades importantes. Outre le fait que beaucoup d'hommes aient péri, ça n'avait pas été le plus grand tournant de son histoire -non, on ne peut pas dire que la Révolution Russe fasse partie intégrante de la Première Guerre Mondiale, non c'est, c'est quelque chose à part- et de plus, le passé était le passé. Donc, la conclusion, c'est que le sujet est nul. Qu'importait de savoir de quel côté elle avait été. Thèse, antithèse, synthèse, tout ça réuni en une seule personne : le neutre. Car le neutre est gris, il est donc mi-noir, mi-blanc et il n'y a aucun intérêt à savoir de quel côté il penche.
Il eut l'impression d'entendre comme un grognement. Ah, Thalia était dans le coin ? Non, sûrement pas, qu'est-ce qu'elle ferait là. Il observa Liechtenstein, toujours souriant. Non, ce ne pouvait pas être elle. Il n'avait jamais entendu dire que Liechtenstein grognait, ou quoi que ce soit du même genre, donc bon. Un chien ? Peut-être. Ou pas. C'était trop silencieux pour être un chien. Il souriait toujours, inlassablement, comme à son habitude. Le sourire faisait de toute manière partie de sa nature profonde ; ne pas voir Russie sourire, c'était comme imaginer États-Unis se prendre pour le superméchant des films Marvel.
- Que viens-tu faire par ici ?
Question qui manquait de subtilité mais qui avait son intérêt. Que pouvait bien faire une petite fille du quartier anglo-saxon chez les slaves ? Elle se baladait ? Peut-être. Allez savoir. Il y avait beaucoup de raisons pour venir par ici, c'était sûr. Alors, parmi les milliers de raisons potables, laquelle pouvait-elle bien avoir choisie ?
- Spoiler:
Désoléééééée du retard Xx j'ai été pas mal occupée cette semaine ^^'
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